Cette section du site de décrit pas tous les vampires, je me permet donc d'en ajouter quelques uns, afin de complèter...
Rien n'a été négligé pour faire de Nicolas de Lenfent la parfaite imitation d'un noble. Depuis son Auvergne natale, son père l'envoya faire ses études à Paris, pour qu'il fréquente une université réputée. Mais, une fois là-bas, Nicolas tomba amoureux fou du violon lorsqu'il vit un grand virtose en jouer. Aussitôt, il vendit ses manuels scolaires pour en acheter un, et étudia avec Mozart. Fou de rage, son père le fit revenir à la maison, et brisa son violon. Mais notre cher Nicolas ne perdit pas de temps pour en racheter un autre. Mais il faut savoir que Nicolas ne joue pas du violon parce qu'il en aime le son. Il ne trouve pas que sa musique est belle, parce qu'elle vient de son désespoir, et que le désespoir n'a rien de beau. Il en joue pour avoir un île à lui, un endroit où il est le seul maître. Il veut contrecarrer les projets d'avenir que son père avait pour lui, faire souffrir tout le monde autour de lui. Il voulait que tous assisstâssent à sa ruine sans rien pouvoir faire pour l'empêcher.
Nicolas et Lestat s'éprirent l'un de l'autre, et décidèrent de quitter le trou perdu où ils vivaient pour se rendre à Paris, sans argent. Alors que Nicolas jouait du violon, Lestat interprètait Lélio dans la Commedia dell'arte. Et quand Lestat eut le pouvoir, le Don ténébreux, ironiquement, il tenta d'en protégé son amour!
Si Lestat prônait le Bien, Nicolas, lui était le Mal, et s'en flattait. Il devient un auteur de talent pour les pièces du Théâtre des Vampires, mais, comme l'avait deviné Gabrielle, le Don Obscur finit par le détruire.
Nicolas est un personnage aigre, acèrbe, amer, ironique, torturé, sarcastique, désespéré et athé. Jamais il n'avait aimé quelqu'un autant qu'il avait aimé Lestat, et, par la suite, il le haïssait par-dessus tout.
La folie vint, inexorablement, si bien que Nicolas finit par se livrer aux flammes.