Ashram est une jeune formation italienne
dark-folk composée de trois membres, la voix Sergio Panarella,
le piano Luigi Rubino et au violon Alfredo Notarloberti.
Ashram a réussit à développer un style qui leur
est propre. La voix de ténor du chanteur détonne et est superbe !
Les instruments classiques donnent toutes leur beauté aux
compositions. Donc à priori un ensemble très simple, mais
quel résultat ! A la première écoute on se laisse directement
prendre par la douceur de cet album. C’est comme
une succession de tableaux aux visages tantôt tristes,
mélancoliques et songeurs. La sensibilité est présente à
chaque morceaux; un doux frisson envahit l’auditeur.
Le premier titre « Fairy wind » est une véritable invitation
au rêve. La voix de Sergio est comme un doux murmure
à nos oreilles. La piano est très présent rappelant sans
cesse la pluie ou un élément liquide. On se laisse emporter sans résistance.
Le violon nous arrache presque les larmes tout
comme la voix de Sergio. Cet album invite à la rêverie.
En l’écoutant on se sent coupé du monde. Chaque morceau
est une nouvelle sensation « Forever at your mercy »
est comme une déclaration d’amour pleine de moments
d’hésitation, d’espoir infini, sensation très bien traduite
par le violon. « Spirit of the rising moon » est d’une
superbe tristesse, dialogue entre le piano et le violon
comme deux amants vers la fin d’une histoire d’amour.
La tristesse vient nous accaparer de plus en plus, doux
mélange telle cette chère « saudade »; la voix n’est
plus qu’un long sanglot... « Lucky’s song (my dog) est
surprenante. Si l’on se réfère au titre elle serait dédiée
à la chienne décédée du chanteur. Une vraie perle.
« Nevermore sorrow » est très lyrique, un sentiment de
colère et de passion. La voix du chanteur se fait grave
et profonde. Le texte inspire la fuite, la douleur et le doute,
le refus presque total de souffrir à nouveau. « Horizons »
nous plonge dans l’histoire d’une vie finie… interprétation
personnelle, superbe morceau instrumental. On entend
un vieux son de disque vinyle. Le piano nous prend à la
gorge avec un arrière goût amer, comme une musique
qui nous était connue mais que l’on a pas encore finie
d’écrire ou de comprendre… «Fragile » apporte comme
un sentiment de béatitude, morceau instrumental,
un vrai régal. « Océans » détone avec une ambiance
ethnique, mélange de différentes voix qui vous prend
aux tripes. On regrette juste qu’il ne dure que 40 secondes !
Alors pour les amoureux absolus de musique mélancolique,
pas une seule seconde d’hésitation !
j'ai enfin trouve des morceaux a vous
faire écouter grace a athan zakil
merci a toi
voila pour en écouter d'autre cliquer sur le lien
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